Aujourd'hui sera une journée placée sous le signe du français. Ce n'est pas de la pure nostalgie : je dois préparer mon intervention pour un colloque qui se tiendra à Paris en mars prochain - Les intermittences du sujet, écritures de soi et discontinu (1913 - 2013). Je réalise mon premier powerpoint, il faut un début à tout.
Je parlerai de Gherasim Luca, mais pour une fois je vais pouvoir me pencher sur son œuvre plastique. Et surtout sur ses "cubomanies", des reproductions de toiles découpées et réagencées au gré des désirs.
C'est vraiment étrange, mais quand je travaille sur ma thèse, où que je sois, je me sens dans un univers à part, régi par des lois propres. Roumanie ou France, peu importe. Je suis en terre Luca.
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